***************************** es <1001-1@gmx.net> ****************************** ---------------------------------------------------------------------------(1)-- langage [lSgaF] n. m. * v. 1160; lengatge v. 980; de langue I¨ 1¨ Fonction d'expression de la pensée et de communication entre les hommes, mise en ¦uvre au moyen d'un système de signes vocaux (parole) et éventuellement de signes graphiques (écriture) qui constitue une langue. Þ verbe; langue (II), parole (II). « Le langage objective la pensée » (Bréal). Les universaux* du langage. Étude du langage. Þ linguistique. La double articulation*, les structures* du langage. L'acquisition du langage. Retard de langage (chez l'enfant). Troubles du langage. S'exprimer par le langage. Þ 1. dire, exprimer, 1. parler; écrire. Philosophie du langage. Langage intérieur : production de phrases pensées mais non exprimées. Þ endophasie. 2¨ Système de signes vocaux ou graphiques qui remplit la même fonction. Þ code. Langage naturel, que représentent les langues du monde. Langage artificiel, symbolique, formel, formalisé, qui repose sur des axiomes, des lois, des règles de formation des énoncés. Langage de la logique. - Inform. Ensemble codé de signes utilisé pour la programmation de problèmes spécifiques (scientifiques, de gestion, etc.) permettant de formuler des instructions adaptées à un calculateur électronique. Langage évolué, conçu en fonction du type d'application traité et indépendant du type d'ordinateur. Þ ada, algol, basic, cobol, fortran, LISP, 3. pascal, prolog. Langage machine : langage binaire directement exécutable par l'unité de traitement d'un ordinateur (Þ assembleur, compilateur, interpréteur). - Langage (naturel ou artificiel) qui décrit un langage. Þ métalangage. 3¨ Ling. Ensemble de la langue (système abstrait) et de la parole (réalisations). Þ discours, langue, parole. 4¨ Par ext. Système secondaire de signes créé à partir d'une langue. Langage subrogé, conventionnel, sténographique, codé, chiffré. 5¨ Par ext. Système d'expression et de communication que l'on assimile au langage naturel. Le langage des dauphins. Langage gestuel*. Þ paralangage. Le langage des fleurs. Les langages des arts (Þ sémiotique). II¨ Façon de s'exprimer. 1¨ Usage qui est fait, quant à la forme, de cette fonction d'expression, d'une langue. Usage propre à un groupe (Þ dialecte) ou à un individu (Þ idiolecte). Þ langue (II), usage. Langage courant, parlé, familier, populaire, argotique. Langage écrit, littéraire, académique, archaïque. Correction du langage. Impropriétés, fautes de langage. Langage incorrect. Þ baragouin, charabia, 1. jargon. - Mots du langage administratif, juridique. Þ lexique, terminologie, vocabulaire. Langage scientifique, technique, didactique. 2¨ Usage de la langue, quant au contenu du discours. Þ discours. Son langage ne me plaît pas, ce qu'il dit, sa façon de le dire. Tenir un double langage. Il va falloir changer de langage, changer le contenu de ce qu'on dit, notamment s'exprimer plus modestement, en rabattre. Þ 2. ton. - Un langage franc, direct. Liberté de langage. Þ franc-parler. Surveillez votre langage! soyez modéré, courtois. - Par métaph. Le langage des passions. Écouter le langage de la raison. ---------------------------------------------------------------------------(2)-- langue [lSg] n. f. * fin Xe; lat. lingua I¨ 1¨ Organe charnu, musculeux, allongé et mobile, placé dans la bouche. La langue, organe du goût. Filet, frein, muqueuse, papilles de la langue. Relatif à la langue. Þ lingual; gloss(o)-. Avoir la langue blanche, chargée, pâteuse*. Se brûler la langue en mangeant trop chaud. Passer sa langue sur qqch. Þ lécher. Laisser fondre un médicament sous la langue (Þ perlingual). - Loc. Tirer la langue à qqn, pour le narguer. Loc. fig. Tirer la langue : avoir soif, et par ext. être dans le besoin, désirer ardemment qqch. sans obtenir satisfaction. à (Animaux) La langue du serpent. La langue râpeuse du chat. Cuis. Langue fumée, braisée (de b¦uf, mouton, porc). 2¨ Ce corps charnu en tant qu'organe de la parole. Rôle de la langue dans l'articulation des sons. - Loc. Avoir la langue bien pendue : parler facilement, être bavard. Ne pas avoir la langue dans sa poche : parler avec facilité et, notamment, répliquer. Ne pas savoir tenir sa langue : ne pas savoir se taire quand il le faudrait. Retenir* sa langue. Avoir un b¦uf sur la langue : garder un silence obstiné, avoir qqch. qui empêche ou retient de parler. Avoir avalé* sa langue. Avoir un mot* sur le bout de la langue. Avoir un cheveu* sur la langue. Se mordre la langue : se retenir de parler, ou se repentir d'avoir parlé. PROV. Il faut tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler : il faut réfléchir. La langue lui a fourché*. Délier* la langue. Donner sa langue au chat*. - Prendre langue avec qqn, prendre contact avec lui en vue d'un entretien. Þ s'aboucher. à Une mauvaise, une méchante langue, une langue de vipère : une personne qui n'hésite pas à médire, à calomnier. Adj. « Faut-il que les gens soient mauvaises langues dans ce milieu! » (Anouilh). II¨ (Xe) 1¨ Système d'expression et de communication commun à un groupe social (communauté linguistique). Þ dialecte, idiome, 2. parler, patois; créole. Langue mixte. Þ pidgin, sabir. Langue parlée, langue écrite. Les mots d'une langue. Þ lexique, vocabulaire. Syntaxe, morphologie d'une langue. Þ grammaire; orthographe. - Origine, histoire, évolution d'une langue. Étude scientifique des langues. Þ linguistique; lexicologie, morphologie, phonologie, sémantique, syntaxe. Unités d'une langue. Þ graphème, phonème; morphème, mot, syntagme, phrase. Langue écrite, non écrite. Transcription d'une langue. Þ alphabet; phonétique. Dictionnaire de langue (opposé à encyclopédique). Fixer, codifier, normaliser une langue. Tournure propre à une langue. Þ idiotisme. Défense de la langue. Þ purisme; norme. à Langue maternelle*, première. Langue seconde : langue apprise après la langue maternelle. Parler, savoir, écrire, lire deux langues (Þ bilingue), plusieurs langues (Þ polyglotte; plurilinguisme). Dictionnaire mettant en rapport plusieurs langues. Þ multilingue, plurilingue. Dire qqch., s'exprimer dans une langue. Parler une langue avec, sans accent. Il est de langue germanique. Langues étrangères. Traduire* une langue dans une autre. Þ interprète, traducteur, traduction; interlingual. Langues mortes (qui ne sont plus parlées) et langues vivantes. Absolt Les langues : les langues étrangères. Être doué pour les langues. Professeur de langues. Apprendre une langue par les méthodes audiovisuelles. Didactique des langues. Bain* de langue. Laboratoire de langues. - Langue artificielle internationale (espéranto, volapuk). Langue officielle d'un État. Langue nationale. Langue vernaculaire, véhiculaire. Langues en contact. - Typologie des langues. Langue flexionnelle, agglutinante, isolante. - Classification des langues. Familles de langues. Les langues indo-européennes, chamito-sémitiques, indiennes. Langues romanes, germaniques, slaves, orientales. La langue latine, anglaise, française. Langue d'oc*, d'oïl*. Langues anciennes (spécialt le grec et le latin). 2¨ Ling. Système d'expression potentiel opposé au discours, à la parole qui en est la réalisation. Þ code, système; langage. L'opposition langue/parole chez Saussure. 3¨ Langage parlé ou écrit, spécial à certaines matières, à certains milieux, à certaines époques; aspect que peut prendre une langue donnée. Þ langage (II, 1o). Langue parlée et langue écrite. Langue populaire. Langue verte*. Þ argot, argotique. Langue littéraire, poétique. Langue savante, vulgaire. Langue scientifique. Þ 1. jargon. La langue classique. 4¨ Utilisation individuelle du langage, façon de s'exprimer par le langage. Þ idiolecte. La langue d'un écrivain. Þ style. - La langue de bois*. 5¨ Mode d'expression non langagier. Þ langage. La langue musicale. III¨ (XIIe; par anal. de forme du sens I) Chose plate et allongée. Langue de feu. Þ flamme. Langue de terre, bande de terre allongée et étroite. Langue glaciaire : partie inférieure d'un glacier, de forme allongée. - Nom de divers outils ou instruments. à (Suivi d'un nom d'animal) LANGUE-DE-B‘UF : arum, fistuline; outil de maçon. LANGUE-D'AGNEAU : plantain. LANGUE-DE-CHAT : petit biscuit plat, allongé, à extrémité arrondie, à pâte croquante. ---------------------------------------------------------------------------(3)-- emploi [Splwa] n. m. 1¨ Action ou manière d'employer une chose; ce à quoi elle est employée, sa destination. -> usage, utilisation. >> L'emploi du bois, du béton pour la construction. >> « Les drogues dont l'emploi est le plus commode » (Baudelaire). Qui est Baudelaire? Charles Baudelaire, 1821-1867 * Poète, auteur des "Fleurs du mal". >> Faire un bon, un mauvais emploi de son temps, de son argent. « D'assez fortes sommes dont il ne parvenait pas à justifier l'emploi » (Martin du Gard). Avoir, ne pas avoir l'emploi de qqch., l'occasion de s'en servir. - >> Mode d'emploi : notice expliquant la manière de se servir d'un objet. - >> EMPLOI DU TEMPS : répartition dans le temps de tâches à effectuer; règlement, tableau établissant cette répartition. -> calendrier, horaire, planning, programme. >> Ling. Le fait de se servir d'une forme de la langue. -> usage. « Les mots ne sont immuables ni dans leur sens, ni dans leur emploi » (Littré). Emploi libre d'un mot et emploi en locution. Emploi ou mention* d'un mot. Qui est Littré? Émile Littré, 1801-1881 * Philologue, lexicographe, philosophe et homme politique. Académie française 1871. CONTR. Chomage ---------------------------------------------------------------------------(4)-- répartition [YepaYtisjT] n. f. * XVIIe; « distribution » 1389; de répartir 1¨ Opération qui consiste à répartir qqch. -> distribution, partage. Répartition des vivres en période de pénurie. -> contingentement, rationnement. Répartition des tâches entre collaborateurs. Répartition des bénéfices. Répartition de l'impôt. Þ coéquation, péréquation, répartement. à Manière dont une chose se trouve répartie. « L'inégale répartition des biens » (Alain). Répartition de la richesse nationale. - Écon. Opération de répartition, décrivant la formation et la redistribution des revenus. 2¨ Distribution sur une surface, dans un espace, à l'intérieur d'un volume. Þ disposition; dispatching (anglic.), zonage. Répartition géographique des animaux, des plantes. - Répartition des masses dans un tableau. 3¨ Classement. Répartition par âge, par sexe. 1. repartir [YepaYtiY/ Y(B)paYtiY] ou répartir [YepaYtiY] v. tr. (Conjug. : 16; auxil. avoir) * 1580; de re- et 1. partir ¨ Vx ou littér. Répliquer, répondre. - (En incise) Littér. « Vous adorez un b¦uf! est-il possible? [º] Il n'y a rien de si possible, repartit l'autre » (Voltaire). Þ rétorquer. Ä HOM. Répart 2. répartir [YepaYtiY] v. tr. (Conjug. : 2) * 1559; repartir v. 1155; de re- et 2. partir, avec substit. de ré- à re- pour éviter la confusion avec repartir 1¨ Partager, généralement selon des conventions précises (une quantité ou un ensemble), afin d'attribuer les parts. Þ distribuer, diviser. Répartir équitablement une somme entre plusieurs personnes. « Diminuer la lourdeur de l'impôt, n'est pas [º] diminuer l'impôt, c'est le mieux répartir » (Balzac). Les ouvriers se sont réparti le travail. Répartir les frais, les charges. Þ mutualiser. 2¨ Distribuer sur une surface, dans un espace. Þ disposer. Armée qui répartit ses troupes dans divers villages. Répartir les marchandises dans des hangars. Þ 2. dispatcher. - P. p. adj. Chargement mal réparti. Dans ce tableau, les masses sont harmonieusement réparties. 3¨ Par ext. Étaler dans le temps. Répartir un programme sur plusieurs années. Þ échelonner, ventiler. 4¨ Classer, diviser. On répartit les peuples de l'Europe en Latins, Germains et Slaves. On a réparti les élèves en deux groupes de travail. 5¨ SE RÉPARTIR v. pron. (pass.) Être réparti, se trouver partagé (d'une certaine manière). Les dépenses se répartissent ainsi. Ä CONTR. Regrouper, réunir. Ä HOM. 1. ---------------------------------------------------------------------------(0)-- décrier [dekYije] v. tr. (Conjug. : 7) * XIIIe; de dé- et crier ¨ Littér. Attaquer, rabaisser dans sa réputation. Þ calomnier, dénigrer, discréditer. Décrier qqn, sa conduite. « un air de libertinage qui les décrie auprès des personnes raisonnables » (Sainte-Beuve). Décrier l'¦uvre de qqn. Þ critiquer, déprécier. - P. p. adj. Contesté, critiqué. Une mesure très décriée. Zola « décrié injustement par ceux qui ne l'ont jamais lu » (Duhamel). Ä CONTR. Célébrer, louanger, 1. louer, prôner, vanter. Ä HOM. Décrie : décris; décrierai : décrirai (décrire). décrire [dekYiY] v. tr. (Conjug. : 39) * descrire 1160; lat. describere, d'apr. écrire 1¨ Représenter dans son ensemble, par écrit ou oralement. Þ dépeindre, exposer, peindre, raconter, représenter, retracer. Définir* et décrire. Décrire qqch. par le menu, en détail. Þ détailler. Décrire une plante, un animal. Décrire un paysage à qqn. Décrivez-moi cet individu. Décrire comment les événements se sont déroulés. Décrire la situation. « Journée délicieuse. J'en gâterais le plaisir en la décrivant » (Stendhal). - Absolt L'art de décrire. Þ description. 2¨ Tracer ou suivre (une ligne courbe). L'oiseau décrit des cercles. La route décrit une courbe. - P. p. adj. Trajectoire décrite par un projectile. Ä HOM. Décris : décrie; décrirai : décrierai (décrier). --------------------- 11 Pour décrire le spectacle, sa formation, ses fonctions, et les forces qui tendent à sa dissolution, il faut distinguer artificiellement des éléments inséparables. En ^analysant^^ le spectacle, on parle dans une certaine mesure le langage même du spectaculaire, en ceci que l'on passe sur le terrain méthodologique de cette société qui s'exprime dans le spectacle. Mais le spectacle n'est rien d'autre que ^le sens^^ de la pratique totale d'une formation économique-sociale, son ^emploi du temps^^. C'est le moment historique qui nous contient. Ich mag eigentlich Text-Exegese nicht besonders bzw. bin zumindest der Ansicht, daß man dabei sehr vorsichtig sein muß. Aber ich habe aber schon den Eindruck, daß in diesem französischen Text an seiner Oberfläche anderes gesagt wird, sodaß es nicht notwendig ist, große Interpretationen vorzunehmen. distinguer artificiellement des éléments inséparables. -> Faire de l'art! ici: éléments inséparables distinguées == disjunktive Synthese {daß ist dann schon eine andere Figur als negative Dialektik, wenn sicherlich auch sehr verwandt} dans une certaine mesure = gewissermaßen = sozusagen = in/ auf gewisse|r Weise = bis zu einem bestimmten Punkt = bis zu einem bestimmen Maß le langage même du spectaculaire >> langage s. mail(1) >> langue s. mail(2) ... en ceci que l'on passe sur le terrain méthodologique de cette société das ist also gewissermaßen ein strategischer Vorgehen mit der Besonderheit, daß möglicherweise die spektakuläre Sprache (langage) selbst eine ^spezifisch methodologischer^^ Raum/ methodologisches Feld (terrain) ist. Also eine Technik im Gegensatz zu einem Netz. sehr gewagt: deshalb vielleicht auch langage, insofern daß langage immer eine Sprachtechnik bezeichnet, weil ^langage^^ sich von ^langue^^ unterscheidet darin, daß ^langage^^ das Sprechen (die Sprache als Laute) mitbeinhaltet und daß ^Sprechen^^ natürlich aktiv ist. Dieses Verhältnis zwischen ^langage^^ und ^Technik^^ erläutert dann auch den Satz: Mais le spectacle n'est rien d'autre que ^le sens^^ de la pratique totale d'une formation économique-sociale, Nämlich die Methodologie einer Technik. Das Spektakuläre ist deshalb immer noch angreifbar (wenn auch sehr schwierig), denn es ist zwar möglicherweise totalitär, aber nicht eine sprachliche Totalität. ... la pratique totale d'une formation, son ^emploi du temps^^. s. mail(3) emploi 1¨ Action ou manière d'employer une chose; ce à quoi elle est employée, sa destination. -> usage, utilisation. >> EMPLOI DU TEMPS : répartition dans le temps de tâches à effectuer; règlement, tableau établissant cette répartition. -> calendrier, horaire, planning, programme. >> Ling. Le fait de se servir d'une forme de la langue. -> usage. « Les mots ne sont immuables ni dans leur sens, ni dans leur emploi » (Littré). Emploi libre d'un mot et emploi en locution. Emploi ou mention* d'un mot. CONTR. Chomage s. mail(4) repartition (sehr interessant!!) Zusammenfassung: répartition [YepaYtisjT] n. f. Opération qui consiste à répartir qqch. Manière dont une chose se trouve répartie. Distribution sur une surface, dans un espace, à l'intérieur d'un volume. Classement. -> distribution, partage. -> contingentement, rationnement. -> coéquation, péréquation, répartement. -> disposition; dispatching (anglic.), zonage. Nun, mit ^emploi du temps^^ habe ich schon ziemliche Schwierigkeiten (zu verstehen was damit gemeint ist). Heißt das, das Filofax von 1967 wäre das Spektakel? 12 Le spectacle se présente comme une énorme positivité indiscuatable et inaccessible. [...] -> se présente 13 Le caractère fondamentalement tautologique du spectacle découle du simple fait que ses moyens sont en même temps son but. Il est le soleil qui ne se couche jamais sur l'empire de la passivité moderne. Il recouvre toute la surface du monde et baigne indéfiniment dans sa propre gloire. -> "haben die Tautologen keine Macht mehr über uns" soleil s. " (cited from wissen05.htm) 15.02.99 10:34:03 PM" (ich male mir keine eigene Sonne -- realisé sans soleil (microprogramme(emploi)) Was sicherlich auch in diesen Komplex gehört, was mir aber noch weniger klar ist: 124 La théorie révolutionnaire est maintenant ennemie de toute idéologie révolutionnaire, ^et elle sait qu'elle l'est^^. elle sait qu'elle l'est ... es ----------------------------------- «la pensée révolutionnaire dialectique est la plus pure pensée que le capitalisme ait jamais possedé. Quand la dialectique se vend à la philosophie, que celle-ci s'appelle critique et révolutionnaire avant tout alors la dialectique n'est plus qu'un rite de possession.» «VIOLENT. --- La dialectique est donc le mouvement réel de la réalité; la réalité elle est économique. Mais l'économie est-elle la totalité du mode? La dialectique assure-t-elle cette totalité? Et si oui comment s'en sortier, comment effectuer la révolution en dehors de la révolution des forces productives, donc dans la reproduction générale du mode?» «EN BREF. --- La dialectique ce n'est pas de la merde.» at: Utopie cinq, mai 1972 Production, idéologie, dialectique. --------------------------------------------------------------------------(-1)-- ******************************************************************************** ROLUX h0444wol@rz.hu-berlin.de http://www2.hu-berlin.de/~h0444wol/rolux/